FELCHLIN EN BOLIVIE

NOS PARTENAIRES ET LA COLLABORATION DIRECTE SUR PLACE

Max Felchlin AG exploite le cacao en Bolivie depuis 2005. Depuis 2014 par la société Sumar Ltda., dont le propriétaire est la famille Vacaflores. Cette collaboration est très fructueuse et les quantités produites ne cessent d‘augmenter d‘année en année. Sur place, les acheteurs de Sumar Ltda. surveillent l‘achat des fèves de cacao et contrôlent leur qualité. Le cacao fait partie de l‘alimentation quotidienne de la population locale. La connaissance du processus de fermentation et de séchage a été transmise de génération en génération.

Sumar Ltda. aide avec leur savoir-faire industriel et toujours au regard des conditions locales pour encore optimiser soigneusement les procédés.

FELCHLIN EN BOLIVIE

NOS PARTENAIRES ET LA COLLABORATION DIRECTE SUR PLACE

Le cacao sauvage unique au monde est un produit de niche souvent mis en relation avec la société Felchlin sous cette appellation. Les fèves de cacao sauvage étant très petites, on dénombre plus de 35% de perte pendant la transformation réalisée dans la manufacture d‘Ibach, soit bien plus que pour les fèves habituelles. Tout cela implique un grand effort qui vaut bien la peine et qui a également un effet positif.

PEUPLES INDIGÈNES – CUEILLEURS DU CACAO SAUVAGE

Les cueilleurs du cacao sauvage sont pour la plupart des familles indigènes de la tribu Baure qui se rendent régulièrement dans les zones de cueillette à pied, en bateau ou à moto. Ils se répartissent le travail et cueillent, fermentent et sèchent le cacao sauvage ensemble directement sur place. Après quinze jours ils rentrent à Baure pour vendre le cacao séché.

Ces dernières années, la Bolivie a certes investi dans l‘infrastructure, ce qui lui a permis d‘améliorer l‘accessibilité des îlots de cacao de la région par la route, mais tout cela reste encore une aventure.

PEUPLES INDIGÈNES – CUEILLEURS DU CACAO SAUVAGE

Cette récolte du cacao sauvage prend place entre fin de Décembre et fin de Mars. En dehors de la période de récolte, ces plantes de cacao restent toutefois dans les mains de la nature. Elles ne sont ni fertilisées ni taillées et sont ainsi naturellement biologiques. Le commerce croissant du cacao sauvage a un effet positif sur la qualité de vie des habitants. L‘émigration des jeunes adultes étant très faible parce que le mode de vie traditionnel est fermement ancré dans la culture et que les zones urbaines sont éloignées.